23 décembre, 2006

NOYAU JOEL

C'est Nowel !
La période des grosses bouffes et des petits cadeaux.

Celle aussi du père Noyel et...
et la mère Noyel ? Où elle est celle-là ? Elle existe pas ? C'est normal, le Père Noyel n'existant pas (enfin, je crois, en tout cas j'y crois pas !), la mèmère non plus, cela va de soi ! C'est étonnant d'ailleurs qu'une World Company ne se soit pas emparé violemment de la Mère Noyel pour faire comme les rusés de chez Coca qui ont lutiné le Pervers Pépère dans les années 50. Etonnant.

C'est aussi la période des chansons cuculs.

Que ce soit en chorale sous les flocons, en famille cathos-pathos à la messe de minuit (putain c'est tard, je dors à cette heure là !), déguisés en rennes (pas la ville, l'animal), en traineau, en hotte, en lutin, en lutine.
Que ce soit au coin de la crèche ou le bovidé souffle comme un boeuf sur le chiard et l'âne annone (pas le yaourt) comme un... âne, voici la période ou l'on ressort de la naphtaline Petit Papa Noel, Noel Blanc, Jinglebell et autre scies (ou râpe, comme vous préférez) musicales de saison.

Je vais vous présenter des artistes qui ont osé braver les traditions en décucuifiant ces crincrins crétinisants.




David Bowie et Bing Crosby - Peace on Earth/Little Drummer boy
Ca reste un peu cucul. Les deux papys autour du piano, avec chandeliers et feu de bois, tentent de nous faire croire au Père Nowell. Mais quelles voix.


Brain Setzer et son Big Band - Jingle Bells
Ca dépote. De la bonne Gretsch des familles pour une version qui sent plus le cambouis que le sapin.


Dandy Warhols - Little Drummer Boy
Du Dandy pur. Notre petit garçon au tambour en avait marre de se geler les baguettes. Il est passé derrière les fûts et sert la pression à volonté.


Richard Cheese - Jingle Bells
Révélation : ce sont des chiens qui tirent le traineau ! Si, si !
Et la Mère Noyel ? Ce sont les rennes (pas la ville, l'animal)!

Trust - Petit Papa Noel
Une version qui va faire marrer les chti z'enfants (ou les faire pleurer !) et dans laquelle on apprend que le Père Noel est tout petit. C'est pour ça qu'il passe dans la cheminée !



... à suivre

17 décembre, 2006

SENSACHIONOL !

Alex Harvey.
C’est vrai, c’est un truc de connaisseurs.
On ne va pas toujours faire dans le bourrin.

Vous n’avez peut-être (sûrement !) jamais entendu parler du Sensational Alex Harvey Band, bien qu’il soit sensational, mais vous ne serez pas perdu avec les reprises proposées. C’est du lourd, du patrimonial, du consensuel, et je n’ai plus d’autres mots savants sous la main.

N’empêche, voilà un certain avantage (ou un avantage certain) à mettre au crédit des reprises : en écoutant une chanson connue, on découvre un artiste inconnu. Ah !

Moi-même, j’ai redécouvert The Sensational Alex Harvey Band (encore...) en préparant cette chronique (ta mère...) (je sens qu’on va se marrer).

Pour que vous mourriez un peu moins idiot, Alex Harvey était écossais (parce qu’il est mort, le pauvre bougre. Non, il n’est pas mort parce qu’il était écossais !), reconnaissable à son maillot de marin rayé (Jean-Paul Gaultier lui doit tout !), il s’était entouré de joyeux lurons, tous plus ou moins déguisés.

Sa musique, avait tous les ingrédients du blues, du rock et du rhythm and blues, mais allait se promener du côté du glam (les costumes, les maquillages) du théâtre et du cabaret (il crée Vambo une espèce de justicier armé d’une bombe de peinture pour graphiter les murs).
C’est sur scène, que le Sensational Alex Harvey Band (de thons) donnait toute sa puissance. Sa réputation scénique (de ch’val) et ses chansons en firent un des artistes les plus populaires en Angleterre dans les seventies (et à cheval donné, on ne regarde pas les seven teeth ! J'vous avais dit qu'on allait se marrer !)


Just a Gigolo/I ain’t got nobody : pas très original mais juste rigolo pour ses zivaziva... traînants... bref, écoutez vous comprendrez.


Shaking all over : magnifique version décalquée sour l’effet de quelques produits ménagers qui déménagent.


Next, la version anglaise de Au suivant de Jacques Brel : une réussite, une version complètement louf et possédée. Il paraît, c’est c’qu’on m’a dit, que c’était un grand moment sur scène.


... à suivre

04 décembre, 2006

C'EST COMMENT QU'ON FREINE ?

Bien sûr tout le monde aime et connaît (et vis et versa) le Bashung de Gaby-tu-veux-qu'j'te-chante-la-mer... Mais le vrai Bashung, là c'est une autre histoire ! On n'aime ou n'aime pas, mais, en tout cas, Alain Bashung ne laisse pas indifférent.
"Tu aimes Cabréleu ?"
"Bof !"
"Euh, tu connais Goldman ?"
"Qui ça ?"
"Qu'est-ce tu penses de Bénabar ?"
"A papa ? Ouaf, ouaf !"
"Tu aimes Bashung ?"
"Ah non, je déteste !!!" Réponse souvent accompagnée d'un rictus de dégoût pour cacher la peur... Ouais, ouais !
"Euh, tu connais Bashung ?"
"Alain ? Mais j'adooooooore !" Celle-ci appuyée d'un regard qui en dit long sur ton côté abruti - comment as-tu osé poser une telle question, vermisseau libidineux !
Tout de suite, on sent la passion que ne manquent pas de susciter ces artistes en marge, un peu dérangés d'la tête, discrets mais productifs et inspirés.
D'ailleurs, dans ses reprises, Bashung ne se contente pas de servir la soupe. Il s'approprie le titre, le tord dans tous les sens, destructure la mélodie pour mieux y imprimer sa marque. Les guitares y sont toujours étincelantes et les arrangements sont marqués blues crade de bouges tendance bayou arrosé de mauvaise home-made-gnôle (c'est alambiqué comme formule non ?).

Les trois reprises choisies sont à mes oreilles ses plus réussies.

Les mots bleus de Christophe, genre ça passe ou ça casse. Et c'est limite de casser à tout moment.

Nights in white Satin des Moody Blues ou son cri d'amour tient plus de la plainte que de la luxure.

Le sud du regretté Nino Ferrer, tout en retenue avec un harmonica foudroyant.


... à suivre.

15 novembre, 2006

VOIX SUR BARGES

Ah ! Les femmes au foyer.
Surtout quand elles s'emmerdent.
Surtout quand elles sont blindées.
Surtout si elles aiment chanter.

Je vais avoir le plaisir et la responsabilité de vous présenter deux femmes qui auront marqué notre époque non pas par leur talent (elles n'en n'ont aucun !) mais par leur culot, leur ego, leur brio.

Mrs Miller, Elva Ruby Connes de son vrai nom (je l’invente pas !) aimait chanter.
Elle s'était organisé une petite vie mémère : levé tôt, une petite chansonnette pour se mettre de bonne humeur, un bol de café, les petites commissions en sifflotant, rentrer donner à manger à Pignolette son chat (je ne sais pas si elle avait un chat mais si oui, quand on s’appelle Ruby Connes, on ne peut appeler son chat que Pignolette ! Si, si.) et re-je chante et je m’enregistre sur des cassettes.
Jusqu'au jour ou cette abrutie de fée fait tomber (depuis ce jour, on l’appelle Féfé la fée dans le quartier !) une « maquette » dans les mains d’un D.A. de chez Capitol qui la signe ! Ouais, mémère à 59 ans, se trouve à l’aube d’une carrière aussi courte que fulgurante (1966-1968 et 4 albums). Le karaoké perso de la Missis se transforme en carrière de rock-star.

Elle vend 250 000 exemplaires de son premier album en 3 semaines. Elle est invitée dans tous les grands shows télé et radio, chante pour les soldats au Vietnam (qui n’avait qu’une hâte, retourner au front !), rempli l’Hollywood Bowl et joue dans un film. Elle meurt à l’âge de 90 ans, ce qui n’est pas si mal, John Lennon a eu moins de chance !


MRS MILLER - A hard Day's Night (extrait, j'suis sympa !)


MRS MILLER - Strangers in the Night : Admirez le vibrato et le sifflement. Son truc pour maîtriser la finesse du sifflet consistait à sucer des glaçons juste avant de chanter !


Pour Florence Foster Jenkins, la donne est différente.
D’abord, la Jenkins est riche. Elle est pétée de tunes et elle s’emmerde. Heureusement sa passion pour le spectacle, le chant, l’opéra, l’occupe à plein temps.
Et puis la Jenkins est narcissique. Ce n’est pas bien grave sauf pour le mec dans le miroir qui passe son temps à lui dire qu’elle est la plus belle du royaume.
Sa passion, son ego, son narcissisme et son fric vont en faire une artiste que les grands de ce monde de cette époque (1913 – 1944) ne veulent pas louper, par curiosité et par hype.
Elle monte le « Verdi Club » qui donne une représentation annuelle qu’elle finance à 100%. Elle fabrique les costumes (strass, paillettes, diadèmes et ailes d’ange), les décors, s’occupe de la mise en scène et... chante.


Elle se produit devant un auditoire choisi et lorsque résonne un éclat de rire dans le salle, elle n’en a cure mettant cette manifestation sur le compte de la jalousie.
Elle chante comme un pied certes, mais son succès est grandissant et elle termine sa carrière dans un Carnegie Hall archi-complet avant de mourir un mois après.
Elle a enregistré cinq 78 tours encore disponibles aujourd’hui sur CD.


FLORENCE FOSTER JENKINS :C'est Mozart qu'on assassine !

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11 novembre, 2006

ROCK'N'ROLL CABARET

Troublante version du Rock'n'Roll Suicide de David Bowie par Talli Brown.
Est-ce un homme ? Une femme ? Les deux ? Qu'importe !
Talli Brown est un p'tit bout de femme, mélange de Peggy la Cochonne, Passe-Partout et Tina Turner, sans oublier une choucroute a faire pâlir de jalousie William Saurin.
Elle a l'air de planer à quinze cent mais, ne vous y trompez pas, elle a les pieds bien sur terre, même si le tabouret semble un peu haut.
La voix est enfumée mais ferme, les gestes calculés et vaporeux, et elle semble habitée par la chanson, livrant une version sobre mais puissante simplement accompagnée d'un pianiste discret et qui ne semble pas vraiment concerné.
Et vous, qu'en pensez-vous ?



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25 octobre, 2006

COMPLET

HOTEL CALIFORNIA, la vieille scie des Eagles avec son intro chère à tous les gratteux en herbe (ex aequo avec Stairway to Heaven) et l'interminable solo de guitares en général coupé par toutes les radios pour cause de "formatage-ménagère-de-moins-de-50-ans".
Je me souviens avoir décroché un 16/20 en anglais à une explication de ce texte. Car j'avais tout compris. Que l'Hôtel California, en fait, symbolisait la société mais que toutes les chambres étaient prises et que d'en avoir une c'était se faire une place dans cette vie pourrie, que le veilleur de nuit est cannibale et que la soubrette est vachement jolie, ne porte pas de culotte et fait tourner le chichon !

Voici deux versions de ce classique pop.

Les Reel Big Fish, groupe ska-punk de farfelus ricains, s'attaquent à cette institution à grands coups de cuivres, sabrent le refrain mais gardent le solo et en font une version joyeusement carnavalesque.


Alabama 3 est le groupe qui doit tout aux Sopranos (ils signent le générique !). Ils nous livrent une version plombée, pesante, noire, dans un style très lounge avec scratches, loops et samples (putain, les mots branchés que j'emploie !). Ils sabrent le solo, gardent le refrain et en font une version chaloupée mais longuette.

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18 octobre, 2006

APERICUBE

"- Papa, pour ton blog, faut qu't'écoutes Richarchise
- Qui ça ?"
- RI-CHARD-CHI-SEU !"
- Ah ! Et qui c'est celui-là ?"
- C'est un mec qui fait des reprises de trucs rocks au piano"

Richard Cheese est une espèce de crooner rigolo-ringardo (voir photo) qui prend un malin plaisir à transformer des brûlots rock'n'roll en musique de bar à VRP. Ca swing, ça rigole, ça choubidouadise, ça trinque et ça chante. Pas mal.
Des reprises Martini, des covers cocktails, Riri devrait faire un malheur dans les soirées de l'ambassadeur et sur le paquebot de la croisière s'amuse. Le plateau du bateau commence a devenir impressionnant, n'est-ce pas ?

Comme les Punkles avec les Beatles, Richard Cheese a fait de la musique de djeune's son fond de commerce. Tout y passe : Metallica, Slipknot, System of Down, Radiohead, Nine Inch Nails, Korn, U2, etc.

RIEN n'effraie le fromage !

Ni une version guillerette de Rape me (Viole moi bidou oua !)

Ni impliquer Scoubidou dans Stairway to Heaven

RIEN !
Et, l'olive sur le vermouth, Richard Cheese en est à son 7ème album et n'a pas l'intention de fermer le bar. Soyez sans crainte, je les ai tous reçu et je remettrai ma tournée de Cheese, on s'fera une raclette !


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05 octobre, 2006

ALL YOU NEED IS PUNK

On va se faire une petite série BEATLES.
Ca sera fait et on pourra repasser aux choses sérieuses. J’ai toujours eu un problème avec les Beatles. D’ailleurs, je me suis aperçu que je n’avais aucun de leurs disques dans mon stock. Dingue non ? Par contre, j’adore leurs chansons… si, si, quand ce sont les autres qui les chantent ! Ouais, je sais, désolé !
C’est pourquoi, je possède pas mal de reprises de ces chers scarabées et j’avoue, honteux, trouver ces versions plus amples, plus couillues que les originaux (pour certaines !).
Lennon et McCartney étaient de très bons songwriters qui auraient du se contenter de donner leurs compositions à de vrais artistes… En fait, je déclare les Beatles comme étant la plus grande escroquerie du rock’n’roll. Naannn, j’déconne !


THE CARPENTERS
Une version “la croisière s’amuse” par les Carpenters (les dents !).
Ca dégouline de violons, de bons sentiments.
Mielleux à souhait.
Mieux que le Prozac, plus efficace que l’Exomil, mais évitez de dépasser la dose prescrite, c'est-à-dire 3 minutes et cake d’hébétude, de somnolence. Et si ronflements bruyants apparaissent c’est que vous avez forcé la dose.
Comme dit le fameux proverbe chinois : « Qui s’endort en écoutant les Carpenter, se réveille les doigts qui collent ! » C’est dégueulasse !



Méyapire !
ZUCCHERO ET RANDY CRAWFORD
Vous prenez un gros beauf italien (avant coup d’boule de Zizou !), une brailleuse américaine sur le retour. Vous les mettez sur une scène, leur donnez une chanson, n’importe laquelle de toute façon ils vont la massacrer, et voilà le résultat. Même les Ethiopiens y z’en ont pas voulu, c’est dire !


EARTH WIND AND FIRE
Alors là, changement de registre. Bataillon de cuivres en tête, petite guitare vicieuse, les rois du funk donne à cette chanson toute la place qu’elle mérite. Des voix célestes impénétrables (si, les voix de ma copine Céleste sont impénétrables, j’ai essayé !), des claquements de doigts, du swing, des pailletes. Eux aussi auraient leur place sur le bateau mais dans une version « La croisière s’amuse vachement mieux que celle des Carpenters ».



CORONER
Couchez les enfants, cachez les femmes, ou le contraire. Les méchants de Coroner débarquent pour piller, voler, violer, dévaster cette chanson de Lennon et McCartney : « I want you (she’s so heavy) ». C’est vrai qu’ils sont lourdingues. Le chanteur a pris sa grosse voix pour faire peur et le batteur a Parkinson au niveau des jambes. Mais que fait la police !



THE PUNKLES

Les meilleurs pour la fin.
Les Punkles ont décidé de faire du répertoire des Beatles leur fond de commerce. Ils se cassent pas la nénette. Ils prennent une chanson des Beatles, et 3…4… c’est à celui qui va le plus vite ! Et ça marche. Les allemands se taillent un gentil petit succès en Europe et sont de toutes les fêtes. Sur devis seulement, ils peuvent venir réveiller, mariage, bar mitzvah, baptême, enterrements. Il est stipulé dans le contrat qu’ils n’interviennent qu’à partir de 23h00, dés la dernière série des tangos et pasos terminée.



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24 septembre, 2006

UNE VERITABLE BOUCHERIE

Même motif, même punition.

Cette fois, le classique de Piaf est repris par les Garçons Bouchers.
Découpage de côtelettes, viande hachée et saucisses aux herbes au menu. Les tabliers sont tâchés de sang, c’est Piaf qu’ils débitent en petits morceaux. Voilà une version très Café du Commerce un soir de réunion dans l’arrière salle d’une bande de gros lourdauds avinés.
Ca sent la sueur et la rage, mais dit’moi don, pourquoi tant de haine ?

La chanson d’amour est passée au hachoir, la voix de Piaf a laissé place à une voix de garage et on ne saura jamais avec qui, ou quoi, ça commence.



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23 septembre, 2006

42 SECONDES DE BONHEUR ?

J’ai longuement hésité avant de mettre en ligne ce… euh, truc, euh… bidule parce que justement je ne sais pas comment l’appeler.
En plus, le groupe lui, s'appelle BERNADETTE SOUBIROU ET SES APPARITIONS. J'ai peur de déclencher l'ire de Bénohit 16, que Douillet me dérouille à coup de pièces jaunes parce que je me moque de sa deuxième maman et que les cathos lance une fatma sur ma tête. C'est que maintenant faut se méfier !

Alors à vous de me dire si vous considérez ce schmlourp comme une reprise ou plutôt (le chien de Mickey) une déconnade, une fin de soirée bien arrosée, une concentration de motards qui se mouchent, un moustique supersonique et mélomane, une mouche qui le matin se réveille en chantant…


Enfin bref, kouâââ, merde, est-ce qu’on (vous, moi, l’autre) peut considérer ce bruit comme une reprise ????
Je pose la question ! Et j’attends des réponses !


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19 septembre, 2006

Linda Charfoin... pour en savoir plus.

J'en étais sûr !
Mon ami Kani n'a pas pu resister à nous en dire plus sur Linda "Suzanne Charfoin" Singer
Parce qu'en plus d'avoir la tête pleine de metteurs en scène, d'acteurs (et surtout d'actrices), de troisièmes assistants, de 10ème décorateurs stagiaires, son ordi est bourré de fiches ciné et ses cartons poussiéreux de dossiers de presse.
Si vous aussi, la vie des second couteaux du cinéma vous intéresse alors cliquez vite sur KANIBALEKTER.
Merci Kani, j'te revaudrai ça.

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18 septembre, 2006

TIA QU'A PAS CHANTER !

Message privé à l’attention de Kanibalekter (son blog est ici) qui parlait, la bave aux lèvres, dans un de ses posts de Tia Carrère.
C’est vrai qu’elle est jolie. Mais bon, on ne peut pas dire qu’elle fait une super Carrère (jeu de mots !) au cinéma. La reine des nanards s’est tournée vers la chanson et malgré une plastique fantastique et un joli petit brin de voix, on ne peut pas dire que le talent l’étouffe.
J’ai trouvé, pour toi Kani, une reprise du Ballroom Blitz du groupe Sweet, tirée (la reprise, pas Tia !) de la BOF de Wayne’s World. Honnêtement, après avoir bien aimé cette version, je suis revenu à l’originale qui me fait penser aux boums de ma jeunesse (avec platform shoes, si, si !) et qui sonne tellement plus glaaaaam. Bon d'accord, les Sweet sont vachement plus moche que la petite Tia.

Tia, si je peux (j’fais c’que j’veux !) te donner un conseil, c’est de choisir un peu mieux tes rôles, ma poule, parce que si tu continues comme ça, Tia Carrère est en jeu ! (de mots !) Ah, ah, ah !


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12 septembre, 2006

LA TOUR ET BREL !

Alors celle-là, je l’aime.
Mieux même que l’original.
Parce que je suis sûr et certains que si Brel avait 20 ans aujourd'hui il ferait du rock. Il se serait servi de guitares et aurait mis encore plus de violence dans ses chansons qu’elle n’en ont déjà.
Et puis de quoi parlait Brel dans ses chansons ?
De sexe : pourquoi il attend Madeleine d’après-vous ? Et Frida, vous croyez qu’ils feuillettent le catalogue Leroy-Merlin quand ils parlent de leur maison avec des tas de fenêtres avec presque pas d'murs ?
De drogue : vous le croyez à jeun alors qui est surpris de ne pas trouver son lit ici ou qu’il suçait des glaçons alors qu’il nous dit que la nuit sera longue à devenir demain ? Et puis eh! le plat pays c'est aussi Amsterdam, ses vélos, ses canaux, sa beu !
Il faut vous dire Monsieur que chez ce Jacques là on ne jazz pas Monsieur, on rock.
Brassens était poète-jazz, Brel était poète-punk.
Romain Humeau du groupe Eiffel, nous livre une version coup d’boule dans le plexus et je peux vous jurer que lorsque Frida la Blonde devient Margot, la plaine est vraiment fumante et tremble sous juillet.



Le site de Romain Humeau : LA


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07 septembre, 2006

IL SUFFIT !

Dés que Jean-Jacques est devenu Goldman, il a fallu qu’il cède aux vieux démons du chanteur français qui a du succès (en France) et qui veux réussir (ailleurs) : conquérir les anglo-saxons.
Ah, tout un programme !
Il écrit donc deux adaptations anglaise de « Il suffira d’un signe » : Just a little Sign qu’il chante lui-même (l’aurait p’t’ête pas du !) qui sort en Allemagne et Hold on Tight, en Angleterre et interprétée par une blondasse inconnue, Linda Singer (Eh! Singer, c’est trop bon comme nom ça coco ! En plus, ça veut dire chanteur ! Et c’est mieux que son vrai nom : Suzanne Charfoin, n’est-ce pas ?). La greluche est également actrice et elle joue son unique « grand » rôle dans le bien connu Zombie Nightmare que tout le monde a vu, bien entendu, poil au Q !
Pour le reste de sa carrière, je refile le bébé à Kanibalekter qui en connaît plus que moi dans ce rayon. Kesstendidssa ?
Revenons à la musique.
Devant la percée de JJ en Angleterre et sa carrière fulgurante aux Etats-Unis, il va sans dire que ces deux essais sont des flops de première catégorie.
Tant mieux. Comme ça on le garde rien que pour nous. Tiens, d’ailleurs, il a fait d’autres trucs depuis ça ?
Le site de DjiDji :



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31 août, 2006

LET'S PANSE !

En 1983, David Bowie fait un carton planétaire avec Let’s Dance.
Dans let’s dance, il y a dance, danser.
Danser c’est synonyme de joie, de fête, de sensualité, d’action, de dynamisme, de jeunesse, de tendresse aussi et de poésie, et de romantisme et d’amour.
Les allemands d’Atrocity ont bien saisi dans cette reprise toute les finesses qui se cachent derrière le mot danser. A l’écoute du Let’s Dance teuton, tout de suite, dés les premières mesures, on sent que ces musiciens ont une bonne âme… TEUTONE, et les teutons n’y vont pas à tatons.
Sûr qu’avec cette cover osée et courageuse, ils ont du en faire danser… des éléphants !
Le site d’ATROCITY





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29 août, 2006

ZAVEZ PAVOU MIRDZA ?

Pour reprendre l’écriture de ce blog et pour ouvrir cette série de covers, il fallait une reprise d’enfer. Quelque chose qui marque et qui en appelle à la mémoire collective que je vais quand même vous rafraîchir.
Nino Ferrer.
Vous voyez ?
Le dandy des sixties qui se fit une réputation de rigolo avec ses chansons poético-débiles, influencées par le rock anglais que Nino avait réussi à cerner. Il s’est suicidé en 98 de dépit devant l’ignardise de ses contemporains.
Bref. Je ne suis pas là pour une nécro mais pour vous présenter une putain de reprise de Nino par les suédois des Dee Rangers. Là-bas aussi, ils connaissent notre baron blond.

Mirza devient Mirdza.
Ce chien, cedchien.
Et "ça yest je le vois", "ça yè dje lebvois !"
Du bon rock garage. Plein d’orgues. Et le premier arrivé attends les autres.
Veutou venir idzi et ne boudgeu pas !
Trop bon… et j’en ai encore plein des comme ça !

Le site des DEE RANGERS




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15 août, 2006

Chui pas si con !

Ca y est !
Je maîtrise, je suis arrivé à dompter la bête !
Non mais !
Seulement, je ne me suis pas encore aventuré à vous proposer de la musique, ça n'devrait tarder.
En attendant je me suis fait la main sur le code et j'ai mis quelques liens vers des sites que j'aime bien. Je ne vais pas les remettre là, ils sont à droite... faites un effort !
SUBJECTIF : un chouette site en réparation/rénovation dont je vous reparlerai bientôt.
PODAUFEU et LA BLOGOTHEQUE : les ancêtres des audioblogs, nos papys quoi ! Mais très bien avec plein de choses à lire mais surtout à écouter.
BEWLAY BROTHERS et MAN OF MUSIC : deux sites consacrés à David Bowie (que j'aime beaucoup !).
MOM essentiellement à la star donc un peu pauvre en ce moment, vu que l'pépé fait pas grand chose.
BB aux couleurs à chier, outre Bowie, propose d'autres artistes plus ou moins casse-couilles, mais ils sont bien renseignés et comptent parmi leurs membres le célèbre Soligny, fan franchouille number one du beau David.
En plus, les deux sites se bouffent le nez, c'est marrant. D'après ce que j'ai compris le créateur de BB serait un ex membre de MOM parti en claquant la porte ou plutôt (le chien de Mickey) la fenêtre.
Le BLOGOROCK. Allez-y c'est pas mal et surtout, il y a plein de trucs à écouter et à découvrir. Le mec n'est pas bavard, mais le peu qu'il écrit est en français de france, ça change du français sms !
J'ai laissé le lien vers GOOGLE NEWS car ça me fait trop marrer de les voir piquer impunément les articles à d'autres sites !!! Sont trop forts ces ricains !
Vous avez peut-être remarqué que j'ai tendance à être vulgaire-mal-poli et à écrire des blagues vaseuses mais... c'est comme ça faudra vous y faire.
L'est trop fort ce Glob !
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08 août, 2006

J'ai l'air de quoi ? Hein ?

Putain, ça fait trois jours que j'essaye de poster un post.
Chaque fois, ça part en cacahuètes, et je n'y comprends rien.
Je m'étais enfin décidé à ouvrir un blog, comme tout le monde, et pour faire mon malin et de la pub pour Subjectif et pour m'exprimer sur les trucs qui me gonflent et pour vous faire découvrir des musiques et cétéra.
Je me heurte à un mur.
Suis-je plus con que la moyenne ?
Je suis allé voir d'autres blogs et y'en a qui sont vachement bien. Bien écrits, bien décorés avec plein de jolies couleurs, des photos, des films, des dessins... putain je devrais y arriver non ?
J'vous jure qu'il y a des jours où on se sent vachement seul !!!
Je vais essayer de mettre ce message en ligne...
Si j'y arrive pas j'm'en sniffe une...
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